Mardi (09/03/04)
Rédéfinition
Les erreurs et les expériences nous portent vers notre futur. Notre devenir est source de nombreux questionnements. On se cherche, on tâtonne. On se trace une vie, on s’y engage et parfois on regrette.
Mes errances m’amènent sans cesse à me questionner. "Que veux-tu faire quand tu seras grande ?"
Je me suis engagée et déjà je perçois l’inadéquation entre mon choix et de mon essence. Dois-je continuer dans cette voie ?
Je retourne à mes premières amours, celles qui loin de s’être tues en moi se révoltent aujourd’hui face à cet étouffement que je leur impose.
Le chemin tend à être de moins en moins obscure. Soit, on peut me qualifier d’inconstante, de défaillante, mais, je ne saurai à l’aube de ma vie m’imposer un autre parcours que celui qui se dessine peu à peu.
Il reste encore incertain, les doutes sont toujours présents en moi, mais j’arrive, grâce aux erreurs, à définir progressivement ce qui me tient à cœur.
J’ai besoin de cette passion propre à nous projeter en avant et même si le but final est imprécis et très aléatoire, je préfère mes errements à toute vie imposée et résignée. Je chercherai toujours - et cela je peux l’affirmer - à m’épanouir dans ce que je fais, temps de travail inclus ou non.
Pour le moment, j’ai vogué au gré des aléas de la vie, je me suis accrochée à de pseudo désirs créés par fierté, par volonté de satisfaire ces autres. J’ai dû abandonner beaucoup de choses en route mais je n’ai aucun regret car lorsque je fais le bilan, je ne vois que progression même lente. Je suis sortie d’un milieu pauvre intellectuellement, violent, déstabilisant.
Mais :
Tout ce que j’ai dans ma tête et dans ma vie ne sont que le fruit de ma propre volonté.
Je prends le mauvais sort pour en faire un allié et non une excuse pour mes fautes ou ce que je suis. Je revendique haut et fort mon inconstance pour ce qu’elle a de meilleure : m’éclairer sur moi.
J’ai vécu des moments plus que difficiles, j’ai beaucoup de lacunes mais je sais une chose : je compte sur moi pour m’en sortir.
Matériellement, même si les turpitudes de l’existence me font passer parfois un mauvais quart d’heure, j’ai un boulot alimentaire dont je n’ai finalement pas à me plaindre. Il me permet de m’assumer. A moi, de trouver une alternative au manque que je pourrais ressentir.
Le bonheur n’est pas matériel.
J’ai mis des années avant de trouver le calme nécessaire à une véritable réflexion sur moi et sur ce qui me motive.
A l’abri du confort douillet de ma vie de couple passée, je me laissais aller. Ne tentant rien de particulier or chacun est maître de sa vie.
Je sais aujourd’hui une chose, l’entourage compte pour beaucoup aussi pour nous faire avancer. Etant d’une nature laxiste et paresseuse, il me faut parfois une présence stimulante pour me donner ce petit coup de pouce nécessaire à mon engagement. Non que j’ai besoin d’être portée, bien au contraire, mais la vision de personnes motivées et curieuses, offrent à mon regard de multiples envies à combler.
Comment peut-on ensuite me reprocher de vouloir suivre ce chemin tentant ?
Je laisse libre aux personnes de m’accompagner dans cette voie, mais qu’elles ne me demandent pas de regarder en arrière, quand j’aspire à courir vers de lointains horizons.
Je ne veux délaisser personne mais j’ai en moi cette soif de vivre et de découvrir ce qui a tant manqué à ma nature depuis si longtemps.
Quand bien même je me fourvoie, qu’on me laisse trébucher, je saurai me relever. Je l’ai fait à maintes reprises.
J’ouvre grand mes mains, j’écarquille les yeux et le spectacle que je contemple me comble de plénitude.
Je ne sais encore quel chemin choisir, plusieurs exercent un attrait fort sur mon être. Je laisse le temps au temps. Demain, je chercherai, ma connexion capricieuse ne me permettant une consultation rapide.
Je laisse la voie libre. Mais déjà, je sais qu’il faudra ruser pour me tirer de certaines obligations la tête haute et qu’il me faudra être vaillante pour satisfaire à toutes mes ambitions.
Mon dieu, je viens de voir les infos... l’image de ces enfants massacrés sur l’autel des idéaux politiques me fait prendre conscience de la puérilité de mes propos et de la stupidité de mes plaintes.
Ecrit par pherine1, à 21:13 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle" - Mise à jour : Jeudi 11 Mars 2004, 23:04.
Dimanche (07/03/04)
L'envol
Dualité complice de mon être
Un mot ici, un autre ailleurs
Et partout une part de mon être
Duplicité peut-être
mais souvent prisonnière
J'ai forgé moi même les barreaux de ma cellule
Soif de renaître ailleurs
Sans abandon aucun
Je reconstruis ma liberté
Et laisse les mots s'envoler
Au gré de mes pensées
Ecrit par pherine1, à 18:51 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle" - Mise à jour : Dimanche 7 Mars 2004, 22:38.
Lundi (23/02/04)
, ¤ Lueur ° . '
Garder cet indicible espoir, cette faible lueur
Croire en cet autre qui viendra
Qui saura me réchauffer le cœur
Ne pas faiblir, ne pas faillir
Encore une fois
Pour des plaisirs futiles qui corrompent mon âme
Ne plus me maudire de mes erreurs
Ne plus faire souffrir
Résister, résister
Sinon je vais les haïr
Ils n’ont qu’un désir à assouvir
Je ne serai leur jouet entre leurs mains expertes
Je cours à ma perte
Faible lueur rejaillit de mon coeur
Berce moi de ta chaleur
Et laisse couler les heures
Elixir de mes sens
Quintessence de mon être
La main qui caresse
Sera celle de l’Aimé
Croire en ma destinée
Attendre et ne pas faillir
Pour n’avoir à offrir
Que mon amour vierge
Frémir sous mille plaisirs
de l’Aimé à venir
Ecrit par pherine1, à 14:44 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle".
Samedi (21/02/04)
Confidentiel(lement à Dad)
JJ Goldman
Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront prés de moi sur mon chemin
Te dire que c'était pour de vrai
Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait
Que c'était pas pour de faux, que c'était bien.
Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné
Tous ces moments, tous ces mêmes matins
Je vais pas te dire que faut pas pleurer
Y a vraiment pas de quoi s'en priver
Et tout ce qu'on a pas loupé, le valait bien
Peut-être que l'on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu'ici bas, je suis là
Ça restera comme une lumière
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s'éteint pas.
NB:Commentaires verrouillés
Ecrit par pherine1, à 23:42 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle".
Fragilité
Ne pas croire tout ce qu'elle affirme si surement
Ne pas la croire si forte
Elle se bat
-Illusion-
Elle a besoin d'être protégée
Si sensible
si fragile
... qu'elle n'ose le montrer
Ecrit par pherine1, à 17:14 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle".
Mardi (17/02/04)
Mon rêve de bonheur...
Il est au fond de mon coeur
Il est des soirs de nostalgie pour un passé épuré de ses aspects les plus âpres, imaginé tel que je l'aurais aimé...
Le temps adoucit les images, les visages, les mots déversés.
Seule reste l'absence.
Et le silence de ce qui aurait pu être.
Une douce nostalgie à l'abri de choix qui n'ont plus lieu. Alors, je m'abandonne...
Quelques mots griffonnés dans la froideur de novembre, dans l'immensité de cette église où j'aime à me réfugier parfois, lieu partagé avec un ami, seule concession à ma solitude alors:
La chaleur de sa main
La douceur de ses lèvres
La tiédeur de sa peau
Il n'en reste rien
Seul le chagrin
Le son de sa voix
La lueur de son regard
La mélodie de ses chants
Il n'en reste rien
Seul le chagrin
La froideur de la pierre
Son corps de poussière
Le silence de son âme
Il ne reste rien
Des souvenirs éphémères
Le passé qui m'échappe
Il s'efface
Elle s'efface
Plus de traces
Je suis lasse
Novembre accentue cette nostalgie du mauvais côté.
Ce soir elle n'est pas.
Je tente en vain de me rappeler ses bras.
Parfois, désarmée par la vie, j'ai ce reflexe de petite fille voulant se jetter dans ses bras réconfortants. Je crois souvent n'être pas seule.
Puis...
Ce temps me semble si lointain. La vie m'a portée si loin d'eux.
Une enfance trop rapidement quittée.
Dernière image glaçée. Souvenir fâné.
Pour elle, encore une fois ces mots. Je n'ai plus qu'eux pour l'appeler encore Maman. Elle, aujourd hui dans ce cimetière anonyme où personne ne flâne comme dans certains.
Quand on me demande mon rêve de bonheur, je réponds "une famille". Une famille telle que je l'aurais voulue pour moi, pour mon frère, pour ma soeur.
Une famille à venir.
Alors je rêve à un autre passé, le passé de mes rêves de petite fille. Celui que je me suis précocement inventé. Celui qui me fait espérer à une famille, un jour...
Ecrit par pherine1, à 21:36 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle" - Mise à jour : Lundi 23 Février 2004, 17:17.
Lundi (16/02/04)
Pour elle
Je me suis rarement demandé, je crois même jamais, ce qu'avait été sa vie de femme.
Je ne sais ce qui ce soir a déclenché ce bref éclair de lucidité.
Je me suis assoupie et son image est venue occuper mon esprit.
C'est ce qui m'a jetée sur mon clavier, cette brève sensation... La saisir au vol pour l'immortaliser de peur de la perdre quelques minutes plus tard.
J'ai entrevu son visage de femme aimante, aimée...
Femme anonyme prématurément vieillie.
A t-elle recueilli dans la chaleur de son lit ses mêmes mots d'homme que je peux aujourd'hui entendre?
A t-elle déchaîné des passions dévorantes?
A t-elle aimé si puissamment à la laisser tremblante le soir dans leurs bras?
J'ai pourtant été sa confidente des années. Trop jeune pour comprendre.
Je n'ai pas le souvenir de soupirs à l'évocation d'un nom.
Je ne sais que le silence, le froid de son existence.
Pourtant...
J'en sais un qui l'a aimée violemment, aujourd'hui encore il vit dans son souvenir.
J'ai été le témoin de ses passades qui comblaient pour un temps sa solitude, visages fades d'homme sans valeur.
Je l'ai vue perdre un a un ses espoirs et pourtant...
Elle était femme avant d'être mère, elle était femme avant d'être amante.
Les secrets de son coeur sont partis avec elle mais je ne peux m'empêcher ses questionnements aujourd'hui.
Femme secrète ayant étouffé sa féminité, son essence, dans les noirceurs de ses doutes que nul homme ne sut taire.
Une femme endurcie que personne ne sut bercer dans ses bras.
Mais femme avant tout.
Son souvenir reste pour moi à travers des chansons désuètes qui me sont chères.
Pour elle ce soir, ces quelques mots
Pour elle ce soir, elle revit
Pour elle, une rose
Pour elle ce soir, cette chanson
Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la terre
Vois comme le monde, le monde est beau
Beau le bateau, dansant sur les vagues
Ivre de vie, d'amour et de vent
Belle la chanson naissante des vagues
Abandonnée au sable blanc
Blanc l'innocent, le sang du poète
Qui en chantant, invente l'amour
Pour que la vie s'habille de fête
Et que la nuit se change en jour
Jour d'une vie où l'aube se lève
Pour réveiller la ville aux yeux lourds
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un monde d'amour
L'amour c'est toi, l'amour c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
Moi qui ne suis qu'une fille de l'ombre
Qui voit briller l'étoile du soir
Toi mon étoile qui tisse ma ronde
Viens allumer mon soleil noir
Noire la misère, les hommes et la guerre
Qui croient tenir les rênes du temps
Pays d'amour n'a pas de frontière
Pour ceux qui ont un cœur d'enfant
Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la terre
Nous trouverons ce monde d'amour
L'amour c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
NB : ce texte n'a pas de sens caché, ne demande pas d'explication, c'est un sentiment que je partage ce soir, une photo-impression...
En parlant de photo, l'auteur de celle plus haut que je me dois de citer : Falo , auteur de très belles photos empruntes de tant d'émotions
Ecrit par pherine1, à 22:31 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle" - Mise à jour : Samedi 21 Février 2004, 16:08.
Samedi (14/02/04)
Douceur du soir, espoir...
Envie d'entrevoir un sourire quand mes yeux s'ouvrent sur les premières lueurs du jour nouveau
Envie de partager des instants uniques cachés aux regards des autres
Que sa présence transforme chaque instant en moment magique
Mais absence d'envie d'une relation éphémère où je me perdrai encore
"Elle attend que le monde change, elle attend que changent les gens"
Je ne suis pas encore à ce point utopiste...mais...
Cette étincelle qui manque à ma vie...
Car c'est elle qui nous fait vivre des moments extrêmes, vibrer comme la musique mais ce serait là un air partagé, une partition à jouer à deux
Je suis dans une douce quiétude, un repos mérité... Un instant de calme...
Mais...
J'ai une nature passionnée...
Et ce temps ne me conviendra pas longtemps...
J'ai ce besoin de me sentir vivre
"Qui saura faire battre mon cœur"
Et ne pas me tromper une fois de plus...
Et...
"Passer mon temps à te maudire
J'ai autre chose à faire que ça"
Aussi...
Quand mon coeur me trahit en sa présence ...
"Si c'est pour me proposer pire
Ne reviens pas"
Je fuis, j'ai fui... J'ai gagné ce combat sur moi... J'ai tourné la page et sais aujourd'hui resister à ses assauts impromptus
...
"Pardonne moi"
Pardonnez moi...
Je t'ai fait souffrir
Je vous ai fait souffrir
Je me suis faite souffrir
Je ne veux plus souffrir
L'amour est complexe, les relations s'achèvent laissant exangues les protagonistes...
Ce n'est pas être seule qui me fait peur, oh non!
Cette solitude pourrait être facilement comblée
Mais...
J'aimerais rencontrer cet autre pour qui je donnerai tout
Je le suivrai au bout du monde d'un simple mot de sa part
Sa présence apaiserait mes incertitudes, ferait taire mes peurs, soignerait ma douleur
Avoir cette réciprocité que je concède si peu ...
Etre moins indépendante pour lui
Diminuer mes instants solitaires pour lui
Accepter sa présence le matin, le soir...
Cuisiner même s'il me le demande... :)
Je trace ce soir du bout de mes doigts ce doux expoir
Et rejoindre les étoiles de la nuit dans leur silence apaisant
Leur faible clarté bercera ma nuit
Ecrit par pherine1, à 01:03 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle" - Mise à jour : Samedi 21 Février 2004, 16:09.
Lundi (09/02/04)
Jusqu'ici tout va bien
Les bruits de la perceuse m'ont réveillée tôt, enfin plus tôt qu'habituellement. 3 cafés plus tard, et lasse de tourner en rond chez moi, je pris ma douche, me maquillais, m'habillais.
Le soleil m'attirait. Je ne pouvais résister.
Je descendis donc et me retrouvais en haut de ce parc magnifique. Cette vue imprenable sur Paris exerce sur moi depuis un an une véritable attraction.
Je contemplais l'horizon si beau et me laissais aller à des rêveries sans fin tout juste interrompues par quelques importuns.
Le bonheur...
Qu'est ce donc?
Il est immatériel. Toutes les richesses du monde ne saurait l'apporter tout juste à occulter son absence le temps de quelques soirées, de brefs pillages dans les boutiques mais au final il ne reste rien. Qu'une légère amertume...
Non, c'est bien plus que ça.
Serait il incarné par l'amour? Pour certains peut-être. Pour d'autres...
J'ai eu l'un et l'autre et pourtant je ne pourrais aujourd'hui affirmer que j'ai goûté au bonheur.
Je pense que pour l'entrevoir déjà, il faut lui être ouvert. Un état d'esprit...
A adopter.
Savoir saisir les quelques brides qu'il laisse s'échapper. Les conserver en nous profondement.
En faire un cliché qu'on ressortirait lorsque le besoin se fait sentir, quand la flamme vacille.
Le bonheur est une quête personnelle. Il ne faut le faire reposer sur autrui car son départ nous priverait alors de cet état de grâce.
En quoi serait il incarné? cela dépend de chacun. Il n'a pas de contour propre. Tout reste très subjectif.
C'est cet équilibre qui nous permet d'avancer sans vaciller, qui met sur nos lèvres ce sourire, cette légèreté malgré les aléas de la vie qui nous porte en chaque nouvelle journée, cette promptitude à apprécier ces petites choses de la vie sans remettre en cause leur véracité.
C'est un groupe d'amis intimement lié pour le meilleur et pour le pire.
C'est une tasse de thé brûlant qui nous réconforte en rentrant.
C'est un appel de l'être aimé.
C'est la sérennité de son chez soi.
C'est la douceur tiède des draps quand on est fatigué.
C'est tout et son contraire.
C'est surtout apprécier chaque chose et en prendre conscience. C'est savoir reconnaitre sa chance.
Et moi je dis aujourd'hui que j'ai de la chance.
Il appartient à chacun de mener sa vie au mieux. Nous sommes les seuls maitres à bord... Rien ne sert d'accuser autrui des obstacles qui s'immiscent. A nous seuls de les surmonter. Il y en aura toujours...
En pendant les moments de répis, apprécier... la vie qui s'offre à nous.
Ainsi, j'ai pris ma journée... Pour étudier. Me dire que si le programme n'est pas très réjouissant et bien j'ai de la chance:
de pouvoir étudier, d'être au calme, qu'on m'ait payer la formation. Que j'ai fait ce choix.
Que demain je vais travailler, que ce taf est finalement correct, que mercredi je vois mon très cher ami, que samedi soir, on se fait une soirée entre amis.
Cesser de me questionner sur mon devenir et vivre au jour le jour sans attente pour être la première surprise si quelque chose de merveilleux s'offre à moi.
Hummm : "Le développement de la concentration des entreprises est-il à craindre? Quelles sont les conséquences de l'instabilité financière sur la croissance économique? Quels rôles peuvent jouer les banques? Quel est le policy mix le plus adapté pour favoriser la reprise?"
Vaste sujet qui va m'occuper cette semaine... à rendre pour le 14.
Ecrit par pherine1, à 13:20 dans la rubrique "Quand le coeur s'emmêle" - Mise à jour : Samedi 21 Février 2004, 16:09.